Augmenter son chiffre d’affaires et sa croissance n’est pas une mince affaire, tous les moyens sont bons pour y arriver et parmi ces derniers, il y en a un qui vient tout droit des États-Unis, à savoir le growth hacking. Dans notre article d’aujourd’hui, nous allons justement nous intéresser à cette nouvelle technique de marketing très prisée.
Le growth hacking présenté en quelques lignes
Le growth hacking représente toutes les techniques et les stratégies marketing envisageables, visant à augmenter la croissance d’une entreprise et son chiffre d’affaires de façon assez rapide et, bien sûr, si cela est possible, sans trop dépenser. Cette méthode vise aussi à booster la notoriété et le business d’une marque, d’une entreprise ou d’une start-up. Cette technique, aujourd’hui très prisée, a vu le jour pour la première fois aux États-Unis il y a environ 12 ans.
Ce service peut être assuré par un growth hacker indépendant ou par une entreprise spécialisée.
Le growth hacking : pour qui ?
Le growth hacking, comme on l’a dit un peu plus haut, vise principalement à augmenter le chiffre d’affaires et à booster la notoriété des start-ups ou des entreprises, en d’autres termes, il est destiné à ces dernières. Plusieurs entreprises font d’ailleurs appel à ce qu’on appelle des growth hackers professionnels et certaines d’entre elles vont encore plus loin en ayant toute une équipe ou tout un département qui se charge du growth hacking.
Est-ce que c’est légal ?
Beaucoup d’interrogations tournent autour du growth hacking, surtout celles qui concernent la légalité de cette pratique. Comme on l’a déjà dit, le growth hacking utilise toutes les techniques de marketing pour avoir une croissance optimale. Parmi ces dernières, il y en a qu’on peut qualifier de douteuses, voire d’illégales.
Les principaux types de growth hacking
Il existe principalement 3 types de growth hacking, à savoir :
- Le growth hacking blanc ;
- le growth hacking gris ;
- le growth noir.
Le premier type de growth hacking est le growth hacking blanc, ce type est considéré comme tout à fait légal, utilisant des techniques qu’on voit généralement dans le monde du marketing. Le deuxième type est le growth hacking gris, ce type utilise des techniques un peu moins légales que les premières. Le dernier type est le plus dangereux, c’est le growth hacking noir qui utilise des méthodes très douteuses, et même illégales. Cependant, les entreprises qui l’utilisent sont rarement poursuivies.
Comment devenir growth hacker ?
Le growth hacking est devenu un aspect plus qu’important dans la majorité des entreprises, de ce fait, les growth hackers sont de plus en plus demandés, mais comment en devenir un ? Quels sont les diplômes qui vous permettent de pratiquer cette fonction ?
À vrai dire, il n’existe, à ce jour, aucun diplôme ou attestation proprement dédiés au domaine du growth hacking, mais si vous voulez exercer cette fonction, vous devez passer par une école qui propose la formation de web marketing. Toutefois, un tel diplôme n’est pas vraiment suffisant, si vous voulez vraiment faire exception, il vous faudra certaines compétences essentielles. La première d’entre elles, c’est la parfaite connaissance de la programmation en informatique qui vous permettra d’élaborer ce qu’on appelle les hacks.
Une deuxième connaissance vous sera indispensable si vous souhaitez devenir un bon growth hacker, c’est la connaissance des différents réseaux sociaux. Un bon growth hacker possède aussi un esprit très analytique et surtout créatif, qui lui permettra de sortir du lot et de faire rapidement progresser son entreprise. D’autres compétences, comme les connaissances en rédaction et en référencement web SEO, sont aussi nécessaires pour être parmi les meilleurs growth hackers.